Toujours à la pointe de l’innovation, Parasite nous dévoile en avant-première sa collection en impression 3D, nommée Project Zero. Présentée au Silmo 2017, du 6 au 9 octobre, cette ligne au design minimaliste est un concentré de technologie.
Les montures pèsent jusqu’à moins de 10 grammes. La légèreté de la face provient de l’utilisation de la technique du frittage de poudre polyamide. « Grâce à un laser qui agit strate par strate, la poussière de polyamide se polymérise et fusionne en matière brute, solide et légère », explique Parasite.
Mais ce n’est pas tout… La marque, née dans l’Ain et créée en 2002 par Hugo Martin, a développé une nouvelle charnière brevetée. Le mécanisme se situe à l’intérieur même de la face. Les branches en métal Steelskin ne subissent aucune soudure et sont conçues pour s’insérer sans effort dans le tenon. D’un simple geste, elles peuvent également être détachées de la lunette. « Le brevet de l’articulation de Project Zero repose sur un principe qui exploite les propriétés fondamentales de l’impression 3D. Aucune autre technologie ne le permet », commente Parasite.
Project Zero se décline dans une infinité de formes, de couleurs et d’idées : plus de 10 000 combinaisons possibles.
On se rend compte que l’impression 3D continue à s’installer sur le marché de l’optique avec des progrès significatifs au niveau du design, des formes et des coloris des montures.