Aujourd’hui, mardi 18 décembre, Marcolin annonce la signature d’un accord de licence avec L Brands (Victoria’s Secret et Victoria’s Secret Pink). Un partenariat qui repose sur un nouveau business model axé sur le digital, et qui sera effectif jusqu’à la fin de l’année 2023.
« Le groupe Marcolin a toujours eu une approche innovante du monde de la lunetterie et, une fois encore, en formant une alliance avec L Brands, notre groupe promeut une vision actuelle, contemporaine et soucieuse de répondre aux nouveaux besoins des consommateurs sur un marché qui évolue vite », fait savoir Massimo Renon, PDG du groupe Marcolin.
Deux modèles de distribution
Les lunettes de soleil Victoria’s Secret et Victoria’s Secret Pink seront commercialisées sous la forme de collections capsules qui se renouvelleront tous les 2 ou 3 mois, à des moments clés de l’année. Avec ce partenariat, 2 modèles de distribution co-existeront. Le principal, orienté digital, permettra aux consommateurs d’acheter les lunettes directement sur les profils Instagram de Victoria’s Secret et Victoria’s Secret Pink, ou sur le site de la marque. Le second se fera en magasin d’optique, et la distribution débutera en 2019.
« Le groupe Marcolin confirme une nouvelle fois sa stratégie claire et simple : devenir un acteur mondial avec un portefeuille de marques bien défini, des marques internationales, de haut niveau, polyvalentes, avides d’innovations et complémentaires les unes des autres », ajoute Massimo Renon.
« Nous sommes ravis de dévoiler notre tout premier partenariat de licence exclusif. Cette extension de la marque avec le groupe Marcolin témoigne de la puissance de Victoria’s Secret », confie Les Wexner, PDG de L Brands.
Par exemple en refusant la présentation en magasin de cette collection que ne pourront pas essayer les acheteurs " distribution numérique" qui viennent essayer chez l'opticien et qui se retournent vers le nouveau modèle numérique de la société MARCOLIN.
MARCOLIN parie sur notre lâcheté, notre manque de solidarité et de clairvoyance pour imposer avec le temps une distribution qui nous exclue.
Ces grands groupes Italiens pensent certainement que cette maltraitance sera supportée facilement jusqu'à notre disparition.
Après la distribution sélective , il pense à la distribution disruptive.
Joli mot pour ne pas écrire distribution " éjective ".
Sans nos vitrines et notre faiblesse à accepter qu'ils s'essuient encore plus les pieds sur notre profession leurs modèles économiques numériques ou digitales, qui ne sont que de la vente directe,peineraient beaucoup plus s'imposer.
Sans un essai réel le consommateur renoncerait certainement à un achat digital.
QUE SOUHAITEZ VOUS , résister ou disparaître en pliant un peu plus chaque année.
Meilleurs voeux à tous