Après avoir géré les urgences depuis le 16 mars dernier, Les Opticiens Mobiles ont pleinement repris leur activité. Toutes les mesures nécessaires de protection et d’hygiène ont été mises en place pour assurer la sécurité sanitaire des opticiens et des clients. Ainsi, chaque professionnel de santé dispose d’un kit de protection individuel complet comprenant masques à usage unique, blouses, lunettes de protection et gel hydroalcoolique.
Depuis le 11 mai, les porteurs peuvent de nouveau prendre rendez-vous pour renouveler leurs lunettes.
L’intervention d’un opticien mobile se déroule en 5 étapes :
- Prise de rendez-vous en ligne ou par téléphone sur le numéro national ;
- Déplacement de l’opticien avec l’ensemble du matériel et installation d’un espace vision dans le strict respect des conditions d’hygiène ;
- Vérification systématique de la correction visuelle et adaptation le cas échéant ;
- Conseil et accompagnement personnalisé dans le choix de monture, des verres et prises de mesures ;
- Livraison et ajustage de l’équipement par l’opticien mobile sur le lieu de vie
« Cette crise sanitaire renforce notre service en santé visuelle mobile qui prend plus que jamais tout son sens. C’est aussi une occasion unique pour la filière de rassembler les 3O (ophtalmologistes, orthoptistes, opticiens) et d’accélérer la délégation des tâches pour que chacun accède à la santé visuelle sans se déplacer », explique Matthieu Gerber, président et fondateur des Opticiens Mobiles.
Par ailleurs, la reprise d’activité va prochainement redémarrer auprès des populations fragilisées en établissements médico-sociaux et de santé. La société travaille étroitement avec les parties prenantes du secteur, dans le cadre des consignes gouvernementales et des ARS, afin d’organiser dans les meilleures conditions la visite des professionnels de santé.
En effet, sauf erreur de ma part, je pensais que l examen de la réfraction était actuellement interdit en dehors de son magasin ( qui doit, de surcroît répondre a des normes d isolation phonique ect) et que des régions « test » allaient, dans un premier temps, expérimentaient cette possibilité pour l autoriser ensuite si cela s avérait utile et respectable pour la profession.