Pour vos clients qui n’arrivent pas encore à s’adapter aux verres progressifs et se plaignent de troubles asthénopiques (maux de tête, fatigue oculaire…), Tokai a mis au point un nouveau progressif issu des neurosciences. Son nom : Neurogran. Il utilise la magnétoencéphalographie, une technologie qui cartographie l’activité cérébrale (en millisecondes et en résolution spatiale) en suivant les champs magnétiques produits par le courant électrique du cerveau. Il en ressort une clarté supérieure des zones périphériques du verre qui est conçu en tenant compte des zones de vision de chacun des yeux.
Pour fabriquer ce progressif, Tokai travaille en collaboration avec l’Institut National des Neurosciences au Japon. « Ce ne sont pas simplement des données physiques, mais au travers de la neuroscience des données physiologiques et la façon dont l’ensemble de l’appareil accommodatif (œil, nerf et cerveau) réagit au design. En fonction de ces problématiques, on étudie le design de manière à ce que l’effort du patient soit minimum », a expliqué à acuite.fr Eric Lechat, PDG d'IndexOptic qui distribue les verres Tokai en France.
Grâce ce progressif individualisé, surfacé numériquement sur les deux faces, les porteurs bénéficient d'un plus grand champ visuel avec moins de distorsions et une meilleure vision périphérique.
Neurogran est disponible en indices 1,6/1,70 et 1,76, hors Transitions.