Des objets optiques insolites et surprenants, le tout en images !

Fontaine à Schnaps, étain, marque de la coopérative « Friedberg 1809 ». Pièce unique mise sur la table lorsque les opticiens de la coopérative se réunissaient dans un café. On la remplissait par l’opercule avant d’ouvrir le robinet pour se servir. ©Musée de la Lunette - coll. Essilor-Pierre Marly. Photo : Pierre Guénat

Ex-voto, argent et cuivre, XVIIIe– XIXe siècles, Italie/Flandres. Les ex-voto, « le vœu réalisé », sont offerts depuis l’Antiquité dans les lieux de culte en vue de l’accomplissement d’un vœu ou pour remercier d'une guérison. Les ex-voto anatomiques revêtent la forme des parties du corps affectées : ceux représentant des yeux sont dédiés à Sainte-Lucie, notamment patronne des malvoyants et ophtalmologues, . ©Musée de la Lunette - coll. Essilor-Pierre Marly. Photo : Pierre Guénat

Lunettes de lit, acétate et métal, milieu du XXe siècle. Dotées d’un prisme à 60° ou 90° degrés, elles permettent à son porteur de voir selon ce même angle sans baisser sa tête. La publicité vante les mérites de ces montures pour les personnes alitées qui peuvent ainsi lire, manger, regarder la télévision sans se tordre le cou ! ©Musée de la Lunette - coll. Essilor-Pierre Marly. Photo : Pierre Guénat

Lunettes essuie-glaces, acétate, métal et pile, milieu du XXe siècle. Un système d’essuie-glaces fonctionnant à pile équipe cette monture quelque peu gadget ! ©Musée de la Lunette - coll. Essilor-Pierre Marly. Photo : Pierre Guénat

Lunettes chapeau, vermeil et cuir, XXe siècle. Pièce très rare qui s’accrochait au chapeau-melon par un petit crochet. ©Musée de la Lunette - coll. Essilor-Pierre Marly. Photo : Pierre Guénat

Lunettes anti-phare « Lynx », nitrate de cellulose et maillechort, 1ère moitié du XXe siècle. Ces lunettes sont pourvues de petits verres amovibles teintés en bleu pour absorber la lumière intense des phares de voiture. ©Musée de la Lunette - coll. Essilor-Pierre Marly. Photo : Pierre Guénat

Kaléidoscope, miroirs de sorcières, XIXe– XXe siècles. Les premiers kaléidoscopes de poche apparaissent vers 1820. Ils sont remplis d’éclats de verres colorés. Les prismes à facettes recomposent le paysage en multipliant virtuellement les éléments qui entrent dans le champ de vision de l’observateur qui s’en munit. ©Musée de la Lunette - coll. Essilor-Pierre Marly. Photo : Pierre Guénat

Apparus à la Renaissance, les "miroirs de sorcières" composés d’un ou plusieurs miroirs convexes furent appelés ainsi car on leur attribuait des pouvoirs magiques. Placés en face d'une fenêtre, ils permettaient de diffuser beaucoup de lumière dans l'intérieur des maisons qui avaient de petites ouvertures à l’époque. ©Musée de la Lunette - coll. Essilor-Pierre Marly. Photo : Pierre Guénat