L’idée de la vente des équipements optiques en pharmacie gagne du terrain depuis plus d’un an. En partenariat avec Hans Anders, c’est au tour du groupement pharmaceutique DirectLabo (1 200 adhérents et deux enseignes) de se lancer dans l’aventure. Avec Optic&Price, il compte bien offrir « un relai de croissance pour les officines ». L’objectif affiché est clair : offrir aux porteurs « des produits d’optique de qualité à des prix imbattables », le tout « encadré par les conseils d’un professionnel ».
Un concept clé en main
Avec l’inauguration d’un premier espace en juillet dernier à Saint-Hilaire-Saint-Florent (49), DirectLabo vise 10 ouvertures d’ici fin 2015 et 500 à l’horizon 2020. Pour y arriver, Optic&Price propose un concept clé en main au pharmacien. Il comprend entre autres l’aménagement de l’espace de vente avec 10m² réservés à l’examen de vue, le recrutement d’un opticien professionnel, l’offre produits via la centrale d’achat d’Hans Anders et un accompagnement régulier par le biais de campagne de communication, par exemple.
225€ en moyenne pour un équipement
Dans chaque corner, le consommateur a accès plus de 700 références de montures qui seront équipées exclusivement des verres MDD Hans Anders. Sur son site, l’enseigne affiche un prix moyen par équipement de 225 euros, avec un reste à charge pour le porteur qui avoisine les 50 euros. Elle estime que « les prix pratiques dans les espaces Optic&Price permettent de réaliser en moyenne une économie de 200 euros par rapport à la concurrence ». Seront également vendus dans les corners : lunettes de soleil, produits nettoyants et accessoires.
gens);Aucun opticien digne de ce nom n'est venu me faire de la concurrence,car un vrai opticien sait ce qu'est d'investir.J' ai informé pas mal de gens et la réaction ne s'est pas faite attendre:la majorité de ceux-ci m'ont dis qu'ils ne seraient plus clients chez lui,pour ma part je n'ai pas de crainte car dans ce genre de magasin il n'y a aucun service au client,avec une partie des nouveaux diplomés dont on bourre le crane de management au détriment des matières fondamentales(j'en ai fais l'expérience en voulant embaucher une jeune femme diplomée qui était incapable de faire un dépistage visuel,et ne savait pas qu'il fallait mettre de l'eau pour meuler un verre minéral).je suis pour le numérus clausus en optique et que les pharmaciens retournent à leurs officines ,rien ne m'empèche de vendre de la parapharmacie (j'ai un bail tous commerces)mais je ne veux pas devenir aussi bete, il veut la guerre et il l'aura,il n'est pas question de laisser se développer ce genre de parasite.l'optique est gangrénée par bon nombre d'énèrgumènes qui n'ont rien à y faire