Le groupe De Rigo affiche des résultats en hausse pour l'année 2023 avec un chiffre d'affaires consolidé qui s'élève à 506,1 millions d'euros par rapport aux 452,7 millions d'euros réalisés en 2022 (+11,8 %).

Le chiffre d'affaires de la division retail (avec les deux chaînes General Optica et Opmar Optik) a réalisé une hausse de 6,6 % à 242,7 millions d'euros, par rapport aux 227,7 millions d'euros réalisés en 2022.

Les résultats commerciaux sont positifs dans toutes les zones géographiques :

  • le chiffre d'affaires en Europe s'élève à 388,2 millions d'euros, en amélioration de 12,0 %. La plus forte croissance a été enregistrée en Turquie, en Italie, en France et en Allemagne ;
  • le chiffre d'affaires sur la zone Amériques a augmenté de 5,1 % à 57,5 millions d'euros par rapport aux 54,7 millions réalisés en 2022 ;
  • le chiffre d'affaires dans le reste du monde a augmenté de 22,1 % à 53 millions d'euros, en particulier grâce à la croissance enregistrée dans les zones d'Asie et du Moyen-Orient, notamment en Chine, aux Émirats arabes unis et en Indonésie.
  • la marque Police, qui a fêté ses 40 ans en 2023, a généré une hausse de 5,2 % des redevances par rapport à 2022, sur les licences dans d’autres catégories que la lunetterie.

L'année 2023 a été caractérisée par la consolidation des marques lancées courant 2022, telles que Roberto Cavalli, Just Cavalli et GAP et par l'introduction des deux nouvelles marques Porsche Design et Rodenstock, issues du rachat de la division lunetterie Rodenstock qui a eu lieu en juin 2023. La contribution la plus importante à la croissance a été enregistrée dans le segment haut de gamme (Chopard, Porsche Design, Philipp Plein et Roberto Cavalli).

 

« Le résultat fortement positif obtenu par le groupe en 2023 montre la solidité de notre stratégie », a commenté Maurizio Dessolis, vice-président exécutif du groupe De Rigo.

« Une croissance très importante résultant des investissements réalisés au cours des deux dernières années et d'une offre de produits appréciée par le marché. Malheureusement, les incertitudes liées aux conflits internationaux et à la stratégie inflexible de lutte contre l'inflation mise en œuvre par les banques centrales restent visibles. Les premiers mois de 2024, bien que très positifs, affichent une évolution plus fluctuante et difficile à prévoir pour le reste de l’année. Nous restons toutefois modérément positifs quant à la réalisation de nos objectifs. »