C'est à la faveur d'une ambiance fraîche et matinale que le départ du Tour Auto Optic 2000 a été donné mardi 8 avril, d'abord au Grand Palais à Paris à 6h, puis officiellement depuis le Château de Vaux-le-Vicomte sur les coups de 7h. Les bolides se sont élancés sur les routes de France pour une première étape s'achevant à Dijon le soir même.
Egalement partenaire de l'événement, L'Amy propose comme chaque année à ses clients opticiens d'accompagner les coureurs pendant les 5 jours du Tour, en prenant le volant de l'une des trois voitures de collection mises à leur disposition. Ainsi tout au long de la course, les opticiens du groupe sont invités à échanger sur l'avenir de notre profession, la contactologie, les rachats de magasins et bien d'autres sujets.
Au départ à Paris, depuis le Grand Palais
Lors de ce premier jour, cinq d'entre eux, Philippe Petorin (La Rochelle), Philippe Roche (Issy-les-Moulineaux), Eric Bardet (L'Iles-Adam), Alexandre Ponchel (Villeneuve-Saint-Georges) et François Quesney (Saint Gilles-Croix-de-vie), ont été invités à suivre la course soit dans une Jaguar MK2 de 1964, réplique du modèle mythique que conduisait le fondateur de la marque Nina Ricci, soit dans la Porsche 911 (1979) de François Quesney, soit dans une BMW de 1971 appartenant à Fabrice Thiaudière, responsable Grands Comptes chez L'Amy. Les opticiens sont ainsi très impliqués, qu'ils soient pilotes ou copilotes munis d'un « Road Book ».
Départ officiel depuis le château de Vaux-le-Vicomte
Face à un paysage coloré de champs de colza jaune éclatant sur fond de ciel azuré, Alexandre assure « prendre beaucoup de plaisir au volant de l'Anglaise (Jaguar MK2). Ce qui est surprenant au premier abord, souligne-t-il, c'est la direction qui est très lourde. Cela étant, la voiture a une très bonne tenue de route et se comporte même mieux quand on accélère ! »
Ce que confirme Eric qui rappelle qu'à l'époque, « Jaguar a construit la MK2 comme une voiture de course et pas comme une berline citadine ». Une satisfaction partagée par Philippe Roche et Philippe Petorin qui n'en sont pas à leur premier Tour Auto et qui « s'enthousiasment toujours autant à l'idée de conduire des véhicules mythique, de vrais objets de collection ».
Au check-point de Sens, des opticiens du groupe devant la vitrine aux couleurs du Tour de Didier Papaz, PDG d'Optic 2000
Les spectateurs sont venus nombreux pour assister au spectacle, se retrouvant à plusieurs centaines au bord de la route ou dans les villes et villages étapes. Une excellente opportunité pour Optic 2000 de sensibiliser le public sur l'importance d'une bonne vision et d'une bonne ouïe grâce aux multiples animations prévues tout au long du Tour (lire notre news "Le Tour Auto Optic 2000 démarrera sur les chapeaux de roues en avril").
Dans le détail, le premier check-point à Sens a été atteint vers 9h, le second à 12h à Avallon, puis à 15h les coureurs se sont regroupés afin de prendre leur déjeuner, avant de démarrer l'épreuve sur le circuit de Dijon Prenois à partir de 16h et d'arriver finalement à Dijon vers 19h. Le soir, un dîner réunissant tous les participants dans la Halle des Sports de la ville a été l'occasion d'un repas bien mérité, avant un repos très attendu de nos sportifs.
Face à la piste du circuit Dijon Prenois
Le soir à Dijon, pour le dîner à la Halles des Sports