La centrale d’achats Cercle Optique qui fête ses 10 ans, a organisé il y a quelques jours, son 6e salon privé parisien (SPP) à la Villa Foch dans la capitale. Près de 100 opticiens indépendants et 23 fournisseurs étaient réunis.
6e salon privé parisien (SPP) à la Villa Foch
A cette occasion, Benjamin Zeitoun, directeur général, a évoqué les projets en cours et les ambitions de la centrale. « Créée en 2009, Cercle Optique a la volonté d’apporter une nouvelle offre sur le marché basée sur la proximité et la convivialité », a déclaré en préambule Benjamin Zeitoun.
La centrale est passée de 100 magasins en 2010 à 530 en 2018 dont 350 en Île-de-France. Son objectif : dépasser 600 points de vente sur l’année en cours. « Nous sommes la première centrale francilienne », revendique Benjamin Zeitoun.
Pour se différencier, la centrale d’achats s’appuie sur différents types de services :
- Pôle communication : création de flyers, logos pour les magasins. Cercle Optique a également conçu un magazine BtoBtoC que l’opticien peut distribuer à son client ;
- Pôle culture : organisation de sorties culturelles, notamment au théâtre en petit comité;
- Pôle évènementiel : des formations pour les opticiens sont organisées sur plusieurs thématiques telles que le sport à la vue ou les enfants. En perspective du 100% Santé au 1er janvier 2020, des réunions sont prévues en septembre.
Les opticiens rencontrent leurs fournisseurs
Nouveau dispostif Optic Investor
Lors de la soirée, Benjamin Zeitoun a également annoncé le lancement d’un nouveau dispositif d’investissement nommé Optic Investor. Destinés à tous les professionnels de l’optique (adhérents ou non à Cercle Optique), ce programme vise à accompagner des démarches entrepreneuriales dans notre secteur.
Les projets pourraient notamment être en lien avec le développement de l’intelligence artificielle, des initiatives « green » (montures recyclées, écologie…) ou la création de concept stores. « Nous allons investir 250 000 euros sur 4 ou 5 projets d’ici 2020. Objectif : financer 20 à 30% du budget nécessaire des entreprises », conclut Benjamin Zeitoun.