A l’occasion du Silmo et dans le cadre de la lutte contre les contrefaçons, Johnson & Johnson Vision Care France rappelle qu’elle a mis en place depuis avril 2004 un agrément pour la revente de ses lentilles aux opticiens.
Cet agrément a pour objet de tout mettre en œuvre pour contrôler l’authenticité des lentilles Johnson & Johnson Vision Care proposées aux opticiens détaillants par le réseau agréé. Les opticiens peuvent ainsi s’approvisionner en toute confiance directement chez Johnson & Johnson Vision Care ou chez l’un des membres de son réseau de revendeurs agréés.
Un revendeur agréé est un grossiste ou une plate-forme logistique qui s’est engagé à agir en toute transparence avec Johnson & Johnson Vision Care en respectant des règles strictes quant à l’achat, au stockage et à la distribution de ses lentilles. Un audit est réalisé par Johnson & Johnson Vision Care afin de s’assurer du respect de ces règles. A ce jour, les revendeurs agréés par Johnson & Johnson Vision Care sont (par ordre alphabétique): CODIR, COOPTIMUT, GADOL, GVIS, OMI, OPHTALMIC, OPTALOR, SOC, VISATOL. Cette liste est diffusée aux autorités (AFSSAPS, DGCCRF,…) et aux professionnels de la vue (ophtalmologistes et opticiens).
D’autres revendeurs, non agréés, peuvent proposer aux opticiens des lentilles Johnson & Johnson Vision Care. Les professionnels sont informés que Johnson & Johnson Vision Care n’est pas en mesure de leur assurer l’authenticité de ces produits et que, dans le cas où ils seraient abusés par des contrefaçons achetées auprès de ces revendeurs, les opticiens seraient en infraction avec la réglementation et leur responsabilité juridique pourrait être engagée.
Johnson & Johnson Vision Care rappelle que des contrefaçons non stériles de lentilles Surevue provenant de marchés parallèles ont été dans un passé récent importées sans contrôle de qualité et d’origine puis distribuées sur le marché français. Vu le risque infectieux sérieux représenté par le port de ces lentilles contrefaisantes non stériles, Johnson & Johnson Vision Care avait immédiatement informé les autorités, les professionnels et le grand public de la situation afin de prévenir tout risque sanitaire. L’enquête judiciaire chargée de rechercher les coupables de la mise sur le marché de ces contrefaçons est toujours en cours.
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