Face aux déclarations des complémentaires santé sur la hausse de leurs tarifs en 2019 en lien avec la réforme 100% Santé (autrement dit RAC 0, ndlr), Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, a dénoncé un « sabotage politique ».
Mardi 18 décembre, elle leur a rappelé « les engagements » à l’issue de la première réunion du comité de pilotage et de suivi de la réforme.
La ministre considère « naturelle » et « normale » une évolution annuelle des cotisations liée à l’accroissement des dépenses de santé, mais, selon elle, la réforme 100% Santé « ne peut impacter le coût des complémentaires et donc les tarifs ».
Agnès Buzyn a également demandé aux Ocam de réduire leurs frais de gestion, de l’ordre de 20%, alors que la réforme est prise en charge aux trois-quarts par la Sécurité sociale (750 millions d’euros seront totalement assurés par l’Assurance maladie obligatoire sur les 3 secteurs (optique, audio et dentaire) et un quart par les complémentaires santé (250 millions d'euros).
Pas de hausse en 2019
Une mise au point de la ministre qui s’est poursuivie à l’Elysée où Emmanuel Macron a reçu les fédérations des assureurs, des mutuelles et des institutions de prévoyance. Le chef de l’Etat a demandé aux complémentaires santé de faire « un effort particulier pour 2019 », au-delà de la non-répercussion sur les assurés de l’impact de la réforme 100% Santé et du travail sur les frais de gestion. Des propositions dans ce sens sont attendues dans les 48 heures.
« Il n'y aura pas de hausse de tarifs en 2019 liée au 100% Santé », a annoncé Bernard Spitz, président de la Fédération française de l'assurance. « Nous nous sommes engagés à travailler pour qu'il en soit de même en 2020 », a confirmé Thierry Beaudet, président de la Fédération nationale de la Mutualité Française (FNMF).
Baisses des frais de gestion « dans la mesure du possible »
L'Elysée s'est également félicité de l'engagement à limiter les frais de gestion, qui atteignent 20% des montants distribués et contribuent à alourdir les tarifs des assurés. « Nous avons pris l’engagement de ne pas augmenter nos frais de gestion et de les baisser dans la mesure du possible », a conclu Bernard Spitz.
Arrêt des PEC définitivement.
Arrêt du "tourisme" optique des clients, pour obtenir le meilleur devis.
Arrêt du gaspillage de papier engendré par les publicités harcelantes ou l'administratif.
Arrêt de l'amoncellement de lunettes inutilisées, dans les placards.
Arrêt des offres faussement ponctuelles et du nombre sans intérêt.
Arrêt de la connerie humaine et de l'assistanat en général...
Plus la peine de s'écharper pour attirer le client... Revenons à l'essentiel... NOTRE METIER C'EST OPTICIEN et SON SAVOIR FAIRE !
La vue de nos clients, le confort visuel, la beauté du rendu, la personne à part entière, voilà sur quoi nous devrions nous concentrer au lieu de cela c'est un autre monde... c'est à celui qui va bouffer l'autre... Après ne nous étonnons pas de notre déchéance !
Nous sommes toujours les vilains dans l'histoire...
Si seulement il arrêtait les gaspillage ?
YAKAFOKON