Avec l'arrivée d'Humberto Leon et Carol Lim à la tête de la direction artistique de Kenzo, « c'est un véritable changement sur la marque qui s'opère, estime Yohann Patouillard, chef de marque TWC-L'Amy. La collection Eyewear se veut ainsi plus dynamique, connectée, internationale et jeune », s'enthousiasme-t-il. Leur but est en effet de renouer avec l'ADN et l'esprit révolutionnaire typique de Kenzo à ses débuts. On retrouve ainsi les imprimés à succès, comme le Léopard ou le Flying Tiger. Grâce à l'impulsion donner par les nouveaux directeurs artistiques, la griffe fait le buzz à travers une campagne d'affichage plutôt décalée.
La collection se compose de trois séries optiques pour homme, femme et enfant, et de solaires mixtes. En termes de design, « tous les imprimés forts de la collection de prêt-à-porter sont revisités, de même que des éléments provenant des bijoux Kenzo sont retranscrits au niveau des branches, en particulier sur les tenons et les pièces en métal. » Au total, L'Amy présente une quarantaine de modèles homme et femme, une vingtaine pour les enfants, et une quinzaine en solaires. Les montures sont disponibles en 3 ou 4 couleurs, au prix public conseillé compris entre 150 et 280 euros pour les versions adultes, de 130 à 160 euros pour les plus jeunes.
