Avec 14% de son chiffre d'affaires réalisés en contactologie, Jean-Christophe Felix n’a pas hésité à adopter la « contacto-attitude », en adhérant au Club Contacto d’Optic 2000 depuis sa création. Diplômé du lycée Victor Bérard de Morez en 1985, cet opticien fait confiance à la coopérative depuis 1992, après avoir acheté son premier magasin un an plus tôt. Il détient à ce jour 8 points de vente sous la même enseigne, qu’il a monté « avec l’aide de ses frères et de jeunes confrères ».
Le club Contacto, un vrai avantage
Au sein de ce Club, Jean-Christophe a aussi profité de la mise en place du système « wellcome pack » pour accueillir ses clients « avec des cadeaux, afin de récompenser ensuite leur fidélité ». Et il rappelle qu’adhérer à ce groupement lui permet « d’accéder à des prix très intéressants puisque notre enseigne négocie pour nous en échange de la mise en avant des produits ». Pour Jean-Christophe, « c’est un véritable avantage parce que mettre au point des initiatives publicitaires, ce n’est pas notre métier et leur conception coûte cher. Et si on fait ça en amateur, ça ne ressemble à rien. » Avec le Club Contacto, il a appris que « la contactologie génère peu de marge à chaque fois mais souvent, ce qui est très important parce que ça produit du flux dans nos magasins ».
Un accompagnement dynamique
L’enseigne met également à disposition de nombreuses opérations commerciales, comme Jean-Christophe le confirme en mettant lui-même en œuvre actuellement pas moins de cinq campagnes publicitaires. Parmi elles, l’opération « 15 euros par mois » propose « des tarifs bas mensuels pour montrer au public que les lentilles sont accessibles à tous ». « Une des plus innovantes, selon lui, est l’opération ‘Pas froid aux yeux’ » qui présente « l’opticien de façon différente, plus sympathique et sur un autre registre que le prix, à savoir le service ».
Au final, avec cette politique, Jean-Christophe a pu conserver « une bonne activité en lentilles ». Il n’a d’ailleurs pas « remarqué de baisse dans le chiffre d’affaires depuis l’arrivée des sites Internet », raison pour laquelle il conseille à ses confrères opticiens « de conserver la lentille de contact et de ne surtout pas l’abandonner aux concurrents du web ».