L’obligation pour les professionnels du B to C, et donc les opticiens, de désigner un médiateur de la consommation a été introduite par l’article L 612-1 du Code de la consommation. Il précise : « Tout consommateur a le droit de recourir gratuitement à un médiateur de la consommation en vue de la résolution amiable du litige qui l’oppose à un professionnel ».
En clair, vous devez garantir à vos clients la possibilité de recourir à un dispositif de médiation de la consommation. Comment le mettre en place ? Quels sont les risques en cas de non-respect de cette obligation ? Réponses avec Emmanuelle Devigny, médiatrice de la consommation agréée.
La médiation des litiges de la consommation ne s'applique pas :
• aux litiges portant sur des services de santé fournis par des professionnels de la santé aux patients (y compris la prescription, l'administration et la fourniture de médicaments ou de dispositifs médicaux) ;
Donc, si je sais lire, le médiateur ne peut pas intervenir sur un différent portant sur un équipement lunette ou lentilles???
Bonne journée
Petite précision: les adhérents CDO et les utilisateurs du portail web MONOPTICIEN bénéficient du service de Médiation de la Consommation de la Fédération du Commerce Associé. (cf. communiqué de presse d'octobre 2017sur le site cdo).
Comment ce fait-il que la CDO étant une centrale de référencement et de paiement puisse adhérer à la FCA ????
Vous n'êtes pas sans ignorer que la CDO compte, parmi ses actionnaires, des opticiens indépendants et 1 coopérative d'opticiens.
Cette proximité avec le monde coopératif lui confère bien d'autres avantages que le service de médiation FCA, mais ce post n'est pas le lieu pour les décrire.